La CGT Canon

LES PETITES MAINS...

Notre monde, supposé être « nouveau », a encore malheureusement une triste tendance à distinguer, et à mettre en avant, les « premiers de cordée » en opposition aux autres… Ces « autres », souvent oubliés, que nous avons pourtant appris à découvrir, ou à redécouvrir, le temps d’un premier confinement.

Ces caissières de supermarché, ces routiers, ces agents d’entretien… des personnes devenues presque invisibles au quotidien mais qui, le temps d’une crise sanitaire sans fin, ont montré le caractère indispensable de leurs labeurs, et ce pour assurer notre bien-être au quotidien.

Vous qui lisez ces lignes, vous qui êtes salariés Canon, vous avez peut-être un jour bénéficié des prestations du CSE. L’organisation d’un pot de fin d’année convivial, une subvention pour faire du sport, une fête des mères célébrée, un voyage à l’étranger ou des chèques vacances versés… tout cela, c’est l’existence de votre CSE qui le permet. Vos élus œuvrent inlassablement pour être toujours plus proches de vos souhaits et participent ainsi, espérons-le, à améliorer la vie des salariés CANON.

Pourtant, vos élus et leurs actions n’existeraient pas sans « elles ».

« Elles », ce sont les 3 personnes qui travaillent tous les jours au secrétariat du CSE afin que vous puissiez recevoir le bulletin des séjours et voyages, partir en vacances, profiter de vos chèques et bons cadeaux... Nous prendrons, par discrétion, le parti de ne pas les nommer. Pourtant, sans elles, rien ne serait possible. Leur implication et leurs compétences permettent aujourd’hui à ce CSE d’être ce qu’il est et de verser un peu de « social » dans un monde et une société qui en a bien besoin.

Alors, au-delà des clivages et des divergences, ayons une pensée pour elles et pour tout ce travail accompli, parfois dans l’ombre, et dont peu de personnes ont conscience. C’est donc un « merci », un peu dérisoire mais tellement mérité, que nous tenions à leur adresser. Car, encore plus aujourd’hui, notre « nouveau » monde a terriblement besoin d’« elles » !